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Devant une assistance plutôt féminine, Mondial oblige, le bureau de l’association Saint Maurienne a présenté son action durant l’année écoulée. Agnès a repris les principales avancées dans le dossier de la téléphonie mobile et les actions engagées par Priartém au plan national. Il en ressort que les nombreuses mobilisations partout en France ont permis l’arrêt, voir le démontage d’antennes installées. De plus de récentes décisions de justice ont été favorables aux riverains d’antennes avec des condamnations pour les opérateurs, pour dépréciation de la valeur patrimoniale de sa maison ou de son appartement, de plusieurs dizaines de milliers d’euros.
J’ai informé que les antennes-relais du 92 rue François Rolland n’avait pas été installé. J’ai remercié l’association de Saint Maur pour l’aide qu’ils nous ont apporté au début de notre mouvement (septembre 2004) et j’ai rappelé que leur action avait été la pionnière puisque ayant réussi après trois ans d’un combat acharné, un des tous premiers démontages.
Nos deux associations sont à l’initiative de la création de cette coordination et tout naturellement l’assemblée des adhérents a voté à l’unanimité les pouvoirs à son conseil pour y participer.
Je me réjouis de voir que très concrètement dans de nombreuses villes du département, des associations et/ou des collectifs de riverains, travaillent ensemble pour faire face à certaines implantations d’antennes-relais qui posent véritablement problèmes.