Recours contre une antenne à Joinville

Le Parisien du 17 février 2009Suite à la décision de justice dont nous vous faisions part récemment qui condamne Bouygues Telecom à retirer une antennes-relais en application du principe de précaution, de nombreux riverains d’antennes reprennent confiance.

La possibilité d’une procédure réussie devant les tribunaux ouvre en effet des perspectives nouvelles.

Après bientôt 5 ans de lutte contre Bouygues Telecom et son projet du 92, rue François Rolland à Nogent, la possibilité d’une procédure est de nouveau à l’ordre du jour pour nous également. C’est en tous cas ce qu’a décidé l’assemblée générale du 6 février 2009.

A Joinville, nos amis de l’Association pour la Sauvegarde de l’Environnement de Polangis (ASEP) ont décidé d’attaquer un permis de construire autorisant SFR à poser trois antennes-relais sur le toit d’un immeuble.

L’article du Parisien qui s’est fait l’écho de cette nouvelle dans son édition du 17 février 2009 signale également plusieurs cas de riverains qui ont lancé des procédures du même type ou s’apprêtent à le faire.

L’Association des Nogentais (ex-ACN) soutien l’ASEP dans sa démarche. Précisons que comme l’AdN, l’ASEP est adhérente de Priartem.

Le Parisien du 17 février 2009

4 thoughts on “Recours contre une antenne à Joinville”

  1. Qu’attendez vous pour engager une procédure pour le 92, rue François Rolland?

  2. Je vous invite à relire l’article ci-dessus. Vous constaterez que nous envisageons cette option. Maintenant, attaquer Bouygues Telecom en justice, ça se prépare. Si vous êtes partant pour nous aider, n’hésitez pas à nous le faire savoir.

  3. Désolé, je ne suis pas juriste, mais le Maire Adjoint chargé de l’Environnement et du Cadre de vie pourrait peut être vous aider avec
    l’appui des Services Juridiques de la Ville.

  4. Rien n’a bougé depuis fevrier !

    Il faudrait peut-être un jour cesser d’envisager, non ?

    je constate avec un certain déplaisir que plus rien ne se fait au sujet des antennes depuis les élections municipales.

    Allez savoir pourquoi . . .

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